Kinshasa, une mégapole simultanément ville, province et capitale de la République Démocratique du Congo affiche plusieurs tendances en termes d'apparence.
C'est une ville cosmopolite, de tous les visages, mélangeant toute sorte de vie : des coins très urbains, urbains, moins urbains et des coins piteux et dégueulasses. Des coins les plus huppés, aux plus invivables, la ville est partout dirigée par les mêmes autorités, cependant les efforts déployés pour l'urbanisation sont loins d'être égalitaires.
D'une manière précise et claire, les autorités noires n'ont en réalité rien fait d'autre que maintenir la structure urbanistique du colon belge, qui lui bâtissa la ville et les quartiers les plus chics. Les belges ont construit toutes les communes urbanisées. Gombe, Ngaliema, Limete, Bandalungwa, Matete, Lemba, Kalamu, Kasa-vubu, Kinshasa, Barumbu, Ngiri-Ngiri, Kintambo et Lingwala sont des communes qui contiennent des quartiers aménagés par le colon, qui a également asphalté la plupart des routes intra-communales. Le district de la Tshangu, lui n'a pas été bâti par les belges, y compris les communes de Kisenso et Selembao.
Aucune commune n'est épargné d'un visage de misère, y compris la commune institutionnelle de Gombe, aussi considérée comme le centre commercial et administratif de la capitale. La partie qui longe le fleuve Congo, jusqu'aux abords du boulevard du 30 juin est presqu'urnbain et asseni, mais contient des avenues et des coins sombres et quelques peu délabrés. Macampagne, Mont-Fleuri, Beau-vent, Bon-Marche, etc sont des coins les plus fameux.
Des coins piteux sont pleins et dans toutes les communes, de Paka-djuma, à Ngaba, Kisenso, Mombele, des coins très sales remplissent la ville.
Dans une perspective d'urbanisation, il sera important de ne pas aller en ordre dispersé. Il vaudra mieux urbaniser commune par commune, et au sein de chaque commune, arranger quartier par quartier et une avenue après une autre pour une période de 2 ans jour après jour. Il faut réparer chaque avenue, l'asphalter, placer des collecteurs d'eau ou tracés, implanter des carreaux ou marbres dans les passages pour piétons, des pelouses et arbres et finalement installer la lumière publique.
Il existe certes des quartiers qui doivent être démolis et où il faut déguerpir tout le monde où tous les habitants pour faire une propreté et apporter un visage urbain. En outre la construction des cités touristiques s'avère très important. Le long de la rivière Ndjili, il est possible de créer un environnement enviable. Le symbole de Kinshasa doit lui aussi être très proprement aménagé, éclairé et accompagné de lieux d'activités classes.
Cependant sans service d'entretien mécanisés ou machinisés de routes, tracés, pelouses et surtout sans une politique de gestion efficace des immondices et un service de curage mensuel des collecteurs d'eau, Kinshasa ne sera jamais urbain, peu importe les efforts fournis dans la construction.
C'est une ville cosmopolite, de tous les visages, mélangeant toute sorte de vie : des coins très urbains, urbains, moins urbains et des coins piteux et dégueulasses. Des coins les plus huppés, aux plus invivables, la ville est partout dirigée par les mêmes autorités, cependant les efforts déployés pour l'urbanisation sont loins d'être égalitaires.
D'une manière précise et claire, les autorités noires n'ont en réalité rien fait d'autre que maintenir la structure urbanistique du colon belge, qui lui bâtissa la ville et les quartiers les plus chics. Les belges ont construit toutes les communes urbanisées. Gombe, Ngaliema, Limete, Bandalungwa, Matete, Lemba, Kalamu, Kasa-vubu, Kinshasa, Barumbu, Ngiri-Ngiri, Kintambo et Lingwala sont des communes qui contiennent des quartiers aménagés par le colon, qui a également asphalté la plupart des routes intra-communales. Le district de la Tshangu, lui n'a pas été bâti par les belges, y compris les communes de Kisenso et Selembao.
Aucune commune n'est épargné d'un visage de misère, y compris la commune institutionnelle de Gombe, aussi considérée comme le centre commercial et administratif de la capitale. La partie qui longe le fleuve Congo, jusqu'aux abords du boulevard du 30 juin est presqu'urnbain et asseni, mais contient des avenues et des coins sombres et quelques peu délabrés. Macampagne, Mont-Fleuri, Beau-vent, Bon-Marche, etc sont des coins les plus fameux.
Des coins piteux sont pleins et dans toutes les communes, de Paka-djuma, à Ngaba, Kisenso, Mombele, des coins très sales remplissent la ville.
Dans une perspective d'urbanisation, il sera important de ne pas aller en ordre dispersé. Il vaudra mieux urbaniser commune par commune, et au sein de chaque commune, arranger quartier par quartier et une avenue après une autre pour une période de 2 ans jour après jour. Il faut réparer chaque avenue, l'asphalter, placer des collecteurs d'eau ou tracés, implanter des carreaux ou marbres dans les passages pour piétons, des pelouses et arbres et finalement installer la lumière publique.
Il existe certes des quartiers qui doivent être démolis et où il faut déguerpir tout le monde où tous les habitants pour faire une propreté et apporter un visage urbain. En outre la construction des cités touristiques s'avère très important. Le long de la rivière Ndjili, il est possible de créer un environnement enviable. Le symbole de Kinshasa doit lui aussi être très proprement aménagé, éclairé et accompagné de lieux d'activités classes.
Cependant sans service d'entretien mécanisés ou machinisés de routes, tracés, pelouses et surtout sans une politique de gestion efficace des immondices et un service de curage mensuel des collecteurs d'eau, Kinshasa ne sera jamais urbain, peu importe les efforts fournis dans la construction.
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