L'artiste congolais Koffi Olomide écope d'une condamnation de deux ans avec sursis, verdict d'un tribunal parisien, sur une affaire de viol sur mineur, un acte opéré sur une de ses ex-danseuses.
Une condamnation qui semble dérisoire, puisqu'avec sursis, ce qui suppose que son auteur reste en liberté. En effet, Un principe universel de droit interdit l'extradition des nationaux lors des poursuites judiciaires auxquelles ils sont l'objet de la part des pays tiers.
D'une manière récurrente, l'artiste fait objet de diverses accusations d'exploitation sexuelle de ses danceuses, accusé également de les utiliser à la pornographie. Lors des nombreux témoignages, ses ex-danceuses décrivent les séquestrations déguisées et une sorte d'esclavagisme sexuelle dont elles sont l'objet, ce qui paraît contradictoire au traitement public de ces danseuses.
Il est possible d'accorder une voix à ces accusations et tenant compte de cette condamnation, il se confirme que l'artiste exploite ses travailleuses en utilisant un mode opératoire qui finit par dégradé ces femmes victimes. Entouré des bons juristes, il a pu bien esquiver les conséquences et vivre dans une sorte d'impunité. La loi n'a force que sur les plus faibles dit-on, elle sévit difficilement les plus fortunés.
Quant à ses œuvres, elles sont pour la majorité des chefs d'œuvre, au point de faire oublier le comportement de son auteur.
Ce verdict tombe en plein mois de mars de quoi faire parler les défenseurs des droits fondamentaux des femmes.
Une condamnation qui semble dérisoire, puisqu'avec sursis, ce qui suppose que son auteur reste en liberté. En effet, Un principe universel de droit interdit l'extradition des nationaux lors des poursuites judiciaires auxquelles ils sont l'objet de la part des pays tiers.
D'une manière récurrente, l'artiste fait objet de diverses accusations d'exploitation sexuelle de ses danceuses, accusé également de les utiliser à la pornographie. Lors des nombreux témoignages, ses ex-danceuses décrivent les séquestrations déguisées et une sorte d'esclavagisme sexuelle dont elles sont l'objet, ce qui paraît contradictoire au traitement public de ces danseuses.
Il est possible d'accorder une voix à ces accusations et tenant compte de cette condamnation, il se confirme que l'artiste exploite ses travailleuses en utilisant un mode opératoire qui finit par dégradé ces femmes victimes. Entouré des bons juristes, il a pu bien esquiver les conséquences et vivre dans une sorte d'impunité. La loi n'a force que sur les plus faibles dit-on, elle sévit difficilement les plus fortunés.
Quant à ses œuvres, elles sont pour la majorité des chefs d'œuvre, au point de faire oublier le comportement de son auteur.
Ce verdict tombe en plein mois de mars de quoi faire parler les défenseurs des droits fondamentaux des femmes.
Commentaires
Enregistrer un commentaire