Dura lex, sed lex dit-on, la loi est dure, mais c'est la loi. La liberté est au vue de la loi le principe et l'incarcération en est une exception.
En République Démocratique du Congo, comme dans tous les pays du monde, il existe des lois qui organisent la vie en société, il est ainsi normal que tout celui qui viole les principes de l'État soit privé de liberté.
Cependant, dans la plupart des centres et lieux de détention en République Démocratique du Congo, les conditions hygiéniques et humanitaires sont en état de délabrement très avancées, des conditions sanitaires envenimeuses pour une bonne santé physique et sont en plus tenues par des personnes de mauvaise moralité. Plusieurs prisonniers, même dans la prison centrale de Makala, témoignent des scènes très malsaines et traumatisantes, allant dans tous les sens de détérioration de la morale et de la santé physique des détenus. Des hommes se sont fait sodomiser par des d'autres prisonniers préséants, des femmes violées, ils/elles ont pour certains abandonné les bonnes habitudes d'antan et au final, au lieu d'être rééduqués, ils se sont davantage pervertis. Ils sont ainsi dans des endroits des supplices inutiles et font totalement le contraire de ce qu'est censé être la philosophie de tout endroit de détention ou carcéral.
Dans les cachots de police au niveau des communes, les espaces sont très petits, sales, remplis des moustiques la nuit, et les nouveaux détenus sont accueillis par des coups et frappes des délinquants qu'ils y trouvent. Les policiers collaborent avec des délinquants pour leur acheter du chanvre, de l'alcool indigène ou des stupéfiants qu'ils consomment dans les lieux de détention.
C'est encore pire dans les prisons militaires. L'information circule que l'ANR et le service Demiap ont des centres de tortures morales et physiques aggravées, ce qui a poussé l'actuel président Félix Tshisekedi a demandé leur fermeture. L'électrocution, les tortures physiques, les prisons noirs et les prisons inondées d'eau existent. Il existe également des prisons remplis des fourmis tout ne soulignant des exécutions sommaires.
La servitude pénale évoquée dans les billets du franc congolais n'a jamais été d'application, comme les travaux forcés ou les services publics obligatoires, en lieu et place des privations uniques de liberté.
Les prisonniers sont tout aussi humains, malgré leur délinquance et méritent des conditions qui préservent leur état de santé morale et physique. Il est donc impérieux de réhabiliter les prisons, les ré-organiser pour qu'ils deviennent des vrais centres de rééducation et les faire gérer par des personnes conscientes des droits humains.
En République Démocratique du Congo, comme dans tous les pays du monde, il existe des lois qui organisent la vie en société, il est ainsi normal que tout celui qui viole les principes de l'État soit privé de liberté.
Cependant, dans la plupart des centres et lieux de détention en République Démocratique du Congo, les conditions hygiéniques et humanitaires sont en état de délabrement très avancées, des conditions sanitaires envenimeuses pour une bonne santé physique et sont en plus tenues par des personnes de mauvaise moralité. Plusieurs prisonniers, même dans la prison centrale de Makala, témoignent des scènes très malsaines et traumatisantes, allant dans tous les sens de détérioration de la morale et de la santé physique des détenus. Des hommes se sont fait sodomiser par des d'autres prisonniers préséants, des femmes violées, ils/elles ont pour certains abandonné les bonnes habitudes d'antan et au final, au lieu d'être rééduqués, ils se sont davantage pervertis. Ils sont ainsi dans des endroits des supplices inutiles et font totalement le contraire de ce qu'est censé être la philosophie de tout endroit de détention ou carcéral.
Dans les cachots de police au niveau des communes, les espaces sont très petits, sales, remplis des moustiques la nuit, et les nouveaux détenus sont accueillis par des coups et frappes des délinquants qu'ils y trouvent. Les policiers collaborent avec des délinquants pour leur acheter du chanvre, de l'alcool indigène ou des stupéfiants qu'ils consomment dans les lieux de détention.
C'est encore pire dans les prisons militaires. L'information circule que l'ANR et le service Demiap ont des centres de tortures morales et physiques aggravées, ce qui a poussé l'actuel président Félix Tshisekedi a demandé leur fermeture. L'électrocution, les tortures physiques, les prisons noirs et les prisons inondées d'eau existent. Il existe également des prisons remplis des fourmis tout ne soulignant des exécutions sommaires.
La servitude pénale évoquée dans les billets du franc congolais n'a jamais été d'application, comme les travaux forcés ou les services publics obligatoires, en lieu et place des privations uniques de liberté.
Les prisonniers sont tout aussi humains, malgré leur délinquance et méritent des conditions qui préservent leur état de santé morale et physique. Il est donc impérieux de réhabiliter les prisons, les ré-organiser pour qu'ils deviennent des vrais centres de rééducation et les faire gérer par des personnes conscientes des droits humains.
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