C'est à l'Université que l'élite politique, économique ou socio-culturel doit être formé, un lieu censé former les cadres du pays, mais aussi l'accoutumer aux défis réels de la vie professionnelle.
Les Universités congolaises sont parmi les moins bien évaluées, à l'échelle africaine et donc dans le monde. Récemment en 2018, aucune université congolaise n'a été listée parmi les meilleures en Afrique.
Ils sont pourtant des dizaines des milliers des diplômés chaque année à être déversés sur le marché d'emploi ainsi que le milieu professionnel d'une manière générale. L'incompétence, des difficultés de tout ordre, expressif, rédactionnel qui coûtent beaucoup au ralentissement de la performance dans la gestion de la République, ou de l'Administration freinent l'élan du progrès socio-economique, politique, administrative du pays.
Un électricien diplômé d'université par des voies informelles peut incendier des circuits électriques, des médecins incompétents peuvent gonfler les morgues, les juristes favorisés peuvent faire perdre des procès de leurs clients et des diplomates mal formés peuvent vendre l'avenir du pays, simplement par incompétence.
Les Universités congolaises, produisent pour la plupart des déchets intellectuels, des diplômés indignes de leur nom, des incompétents et incultes de tout genre pour la plupart. Parmi les causes, il existe un système d'attribution illogiques des côtes et des réussites, motivés non pas par la méritocratie, mais supplantés par des anti-valeurs de tout genre, allant de la corruption à la prostitution scientifique, sans compter le favoritisme. Il n'existe pas très souvent de rapport entre mention de réussite et niveau réel de l'étudiant.
Ainsi, la progéniture professionnelle des futurs cadres est mis en péril, parfois même en cendres par l'indifférence des autorités politiques et administratives chargés de gérer les universités, chargés donc de gérer la future classe dirigeante du pays.
Il faut en clair espérer dans cette allure les futures cadres aguerris dans la corruption, dans la médiocrité, l'incompétence et le favoritisme ; des cadres qui seront capables d'accéder aux différents postes par la tricherie, le favoritisme et la prostitution professionnelle, mais incapables de gérer, défendre et faire avancer l'Administration, et les institutions ou regroupement placés sous leur direction.
Il existe pourtant des voies et moyens d'intervenir politiquement afin de sauver l'avenir du pays, cette étude fera objet d'un prochain article.
Les Universités congolaises sont parmi les moins bien évaluées, à l'échelle africaine et donc dans le monde. Récemment en 2018, aucune université congolaise n'a été listée parmi les meilleures en Afrique.
Ils sont pourtant des dizaines des milliers des diplômés chaque année à être déversés sur le marché d'emploi ainsi que le milieu professionnel d'une manière générale. L'incompétence, des difficultés de tout ordre, expressif, rédactionnel qui coûtent beaucoup au ralentissement de la performance dans la gestion de la République, ou de l'Administration freinent l'élan du progrès socio-economique, politique, administrative du pays.
Un électricien diplômé d'université par des voies informelles peut incendier des circuits électriques, des médecins incompétents peuvent gonfler les morgues, les juristes favorisés peuvent faire perdre des procès de leurs clients et des diplomates mal formés peuvent vendre l'avenir du pays, simplement par incompétence.
Les Universités congolaises, produisent pour la plupart des déchets intellectuels, des diplômés indignes de leur nom, des incompétents et incultes de tout genre pour la plupart. Parmi les causes, il existe un système d'attribution illogiques des côtes et des réussites, motivés non pas par la méritocratie, mais supplantés par des anti-valeurs de tout genre, allant de la corruption à la prostitution scientifique, sans compter le favoritisme. Il n'existe pas très souvent de rapport entre mention de réussite et niveau réel de l'étudiant.
Ainsi, la progéniture professionnelle des futurs cadres est mis en péril, parfois même en cendres par l'indifférence des autorités politiques et administratives chargés de gérer les universités, chargés donc de gérer la future classe dirigeante du pays.
Il faut en clair espérer dans cette allure les futures cadres aguerris dans la corruption, dans la médiocrité, l'incompétence et le favoritisme ; des cadres qui seront capables d'accéder aux différents postes par la tricherie, le favoritisme et la prostitution professionnelle, mais incapables de gérer, défendre et faire avancer l'Administration, et les institutions ou regroupement placés sous leur direction.
Il existe pourtant des voies et moyens d'intervenir politiquement afin de sauver l'avenir du pays, cette étude fera objet d'un prochain article.
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