Lutter contre la pauvreté et le chômage se devraient être un combat qui réunit toutes les tendances socio-politiques au sein d'une nation, d'un pays ou d'un royaume.
Gouvernants comme gouvernés, riches comme pauvres, autorités ancestrales, politiques ou encore administratives constituants tous, différentes tendances dont nous faisons mention ci-haut.
Si Tony Elumelu, un Entrepreneur nigérian est déjà un exemple atypique pour son pays et pour toute l'Afrique en matière du donner à grande echelle, d'autres personnages lui emboîtent le pas pour mettre en avant une économie participative. C'est le cas du Roi de la Communauté Ashanti au Ghana qui lance un programme très ambitieux étalé sur cinq ans de déploiement et de mobilisation d'un fonds estimé à 100 millions de dollars américains pour soutenir l'évolution de l'entrepreneuriat, et participer effectivement et efficacement à la réduction du chômage au Ghana. C'est un acte notable qui le place en son rang et sert d'exemple à toutes les communautés enfouies dans les pays africains pour la plupart sous-développés et particulièrement aux autorités ancestrales congolaises.
Il est vrai que le contexte congolais est très éloigné de celui de certaines communautés africaines et que les chefs coutumiers en RDC sont beaucoup moins préoccupés par l'entrepreneuriat. Cependant, l'entrepreneuriat est comme une arme redoutable qui renferme le pouvoir d'anéantir la pauvreté par la réduction significative du chômage. Entreprendre, cet esprit doit désormais s'enraciner dans le coeur des congolais quelques soient leur milieux de vie ou d'appartenance. Il est impératif de peut être dresser des lignes qui doivent servir d'orientation à la promotion d'une culture entrepreneuriale dans les milieux coutumiers congolais. Nous sommes témoins que chaque coin du pays possède des notables et des hommes riches, qui ont fait et continuent à faire des parcours élogieux, ceci devrait interpeller les autorités coutumières qui collaborent étroitement avec eux pour permettre de mobiliser des fonds nécessaires à la promotion de l'entrepreneuriat de fond en comble.
De même, le Gouvernement Congolais se doit dans sa politique épauler les efforts entrepreneuriaux des jeunes et de différentes catégories marginalisées.
Dans le cour des propositions, prendre en compte la suggestion de construire par exemple une cité destinée à loger les bureaux des porteurs des projets, qui en même temps pourra servir de lieu de lever des fonds pour constituer un capital d'amorçage ou de croissance de ces différents projets. Rendre disponible un encadrement efficace par des formations et les affecter des accompagnateurs étatiques pour assurer leur croissance. De telle initiative ne pourrait qu'être louable et opportune. Connaissant les conséquences que sévissent la population face à la pauvreté, il devient urgent pour toute autorité établie sur le sol congolais qu'elle soit politique, administrative ou ancestrale d'etre assez responsable pour déclencher la bonne démarche à la mise en oeuvre des solutions idoines face l'effondrement économique de la société congolaise.
Gouvernants comme gouvernés, riches comme pauvres, autorités ancestrales, politiques ou encore administratives constituants tous, différentes tendances dont nous faisons mention ci-haut.
Si Tony Elumelu, un Entrepreneur nigérian est déjà un exemple atypique pour son pays et pour toute l'Afrique en matière du donner à grande echelle, d'autres personnages lui emboîtent le pas pour mettre en avant une économie participative. C'est le cas du Roi de la Communauté Ashanti au Ghana qui lance un programme très ambitieux étalé sur cinq ans de déploiement et de mobilisation d'un fonds estimé à 100 millions de dollars américains pour soutenir l'évolution de l'entrepreneuriat, et participer effectivement et efficacement à la réduction du chômage au Ghana. C'est un acte notable qui le place en son rang et sert d'exemple à toutes les communautés enfouies dans les pays africains pour la plupart sous-développés et particulièrement aux autorités ancestrales congolaises.
Il est vrai que le contexte congolais est très éloigné de celui de certaines communautés africaines et que les chefs coutumiers en RDC sont beaucoup moins préoccupés par l'entrepreneuriat. Cependant, l'entrepreneuriat est comme une arme redoutable qui renferme le pouvoir d'anéantir la pauvreté par la réduction significative du chômage. Entreprendre, cet esprit doit désormais s'enraciner dans le coeur des congolais quelques soient leur milieux de vie ou d'appartenance. Il est impératif de peut être dresser des lignes qui doivent servir d'orientation à la promotion d'une culture entrepreneuriale dans les milieux coutumiers congolais. Nous sommes témoins que chaque coin du pays possède des notables et des hommes riches, qui ont fait et continuent à faire des parcours élogieux, ceci devrait interpeller les autorités coutumières qui collaborent étroitement avec eux pour permettre de mobiliser des fonds nécessaires à la promotion de l'entrepreneuriat de fond en comble.
De même, le Gouvernement Congolais se doit dans sa politique épauler les efforts entrepreneuriaux des jeunes et de différentes catégories marginalisées.
Dans le cour des propositions, prendre en compte la suggestion de construire par exemple une cité destinée à loger les bureaux des porteurs des projets, qui en même temps pourra servir de lieu de lever des fonds pour constituer un capital d'amorçage ou de croissance de ces différents projets. Rendre disponible un encadrement efficace par des formations et les affecter des accompagnateurs étatiques pour assurer leur croissance. De telle initiative ne pourrait qu'être louable et opportune. Connaissant les conséquences que sévissent la population face à la pauvreté, il devient urgent pour toute autorité établie sur le sol congolais qu'elle soit politique, administrative ou ancestrale d'etre assez responsable pour déclencher la bonne démarche à la mise en oeuvre des solutions idoines face l'effondrement économique de la société congolaise.
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