Un nouveau né des problèmes vient de voir le jour parmi tant d'autres en RDC, un enfant démoniaque, violent et problématique, il s'appelle "Terrorisme".
Ce phénomène qui terrasse même les grandes nations, dotés des moyens énormes et qui agit comme un vampire pour uniquement verser du sang vient s'ajouter aux nombreux problèmes sans solution que vit le Congo. La RDC n'est pas pourtant la seule nation africaine qui fera face au Terrorisme, il y a le Nigeria, le Mali, bref ce phénomène fait irruption dans des pays à forte dominance islamique, dans l'objectif d'imposer la Charia et supprimer l'existence d'autres religions, ou encore des pays qui s'immiscent dans la lutte contre l'État islamique et sa progression. Le Kenya a subi des attaques meurtrières quant elle a engagé ses troupes dans la lutte contre le Terrorisme, des hôtels, lieux publics ont connu des tueries, des attaques à la bombe ou des voitures piégées.
La RDC qui est un pays dominé par le christianisme et où les musulmans sont minoritaires et de nature pacifique, ne présageait pas un avènement du Terrorisme. Et pourtant, à la fin de son deuxième mandat, Kabila a fait mention d'une menace terroriste et des attaques attribuées aux ADF nalu, affiliés à l'État islamique dans le Kivu. Plusieurs analystes avaient vu en son acte une stratégie pour attirer l'attention et la solidarité des grandes puissances qui ne prêtaient pas souvent attention aux réalités et problèmes du Congo, mais qui faisaient unanimement preuve d'attention aux nations même les plus faibles touchées par le Terrorisme. D'ailleurs, à quelques jours de la tenue du scrutin présidentiel et législatif du 30 décembre 2018, l'ambassade américaine en RDC a été fermée pour des menaces présumées terroristes, ce qui a conduit une attention particulière des Etats Unis au point de dépêcher des soldats américains, un contingent de 80 militaires.
Felix Tshisekedi, le successeur de Joseph Kabila a lui aussi aux États-Unis requis son soutien pour venir à bout du terrorisme qui surgissait dans la partie Est du pays. L'opinion se posait dès lors la question de savoir si une telle menace était une effectivité ou soit une simple stratégie adressait comme son prédécesseur en vue d'attirer l'attention des grandes puissances.
Le chat qui somnolait vient de se réveiller, l'État islamique revendique sa première attaque à l'Est du pays, ce qui fait craindre une propagation de ce phénomène dans la capitale et les grandes villes du pays.
Ce phénomène qui terrasse même les grandes nations, dotés des moyens énormes et qui agit comme un vampire pour uniquement verser du sang vient s'ajouter aux nombreux problèmes sans solution que vit le Congo. La RDC n'est pas pourtant la seule nation africaine qui fera face au Terrorisme, il y a le Nigeria, le Mali, bref ce phénomène fait irruption dans des pays à forte dominance islamique, dans l'objectif d'imposer la Charia et supprimer l'existence d'autres religions, ou encore des pays qui s'immiscent dans la lutte contre l'État islamique et sa progression. Le Kenya a subi des attaques meurtrières quant elle a engagé ses troupes dans la lutte contre le Terrorisme, des hôtels, lieux publics ont connu des tueries, des attaques à la bombe ou des voitures piégées.
La RDC qui est un pays dominé par le christianisme et où les musulmans sont minoritaires et de nature pacifique, ne présageait pas un avènement du Terrorisme. Et pourtant, à la fin de son deuxième mandat, Kabila a fait mention d'une menace terroriste et des attaques attribuées aux ADF nalu, affiliés à l'État islamique dans le Kivu. Plusieurs analystes avaient vu en son acte une stratégie pour attirer l'attention et la solidarité des grandes puissances qui ne prêtaient pas souvent attention aux réalités et problèmes du Congo, mais qui faisaient unanimement preuve d'attention aux nations même les plus faibles touchées par le Terrorisme. D'ailleurs, à quelques jours de la tenue du scrutin présidentiel et législatif du 30 décembre 2018, l'ambassade américaine en RDC a été fermée pour des menaces présumées terroristes, ce qui a conduit une attention particulière des Etats Unis au point de dépêcher des soldats américains, un contingent de 80 militaires.
Felix Tshisekedi, le successeur de Joseph Kabila a lui aussi aux États-Unis requis son soutien pour venir à bout du terrorisme qui surgissait dans la partie Est du pays. L'opinion se posait dès lors la question de savoir si une telle menace était une effectivité ou soit une simple stratégie adressait comme son prédécesseur en vue d'attirer l'attention des grandes puissances.
Le chat qui somnolait vient de se réveiller, l'État islamique revendique sa première attaque à l'Est du pays, ce qui fait craindre une propagation de ce phénomène dans la capitale et les grandes villes du pays.
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