Vendre du pain, cette stratégie de survie pour les femmes congolaises
Les vendeuses de pain, ces femmes battantes qui ont trouvé un moyen de survivre et de contourner le chômage en faisant face aux problèmes de la vie dans un contexte économique très compliqué du pays.
Il n'y a pas de sots métiers, il n' y a que des sottes gens dit-on et tout travail procure de l'abondance du coeur étant un moyen de vie. Elles sont nombreuses ces femmes, jeunes et âgées qui chaque matin entre 4 heures et 6 heures se lèvent pour faire la commande de pains pour les revendre au cours de la journée. Un travail pas du tout facile mais qui, grâce à une rémunération allant de 4 à 20$ de l'ensemble de leurs commandes journalières leur permettent de gagner quelque chose pour répondre aux besoins quotidiens.
Certaines d'entre elles ont fait des grandes choses, et ont su capitaliser leurs intérêts pour s'acheter des parcelles, véhicules, voyager ou encore mouvoir vers d'autres types de business plus lucratifs.
Quels en sont les avantages ?
- Elles ne souffrent d'aucune taxation ou impôt de la part de l'État sur leurs revenus, sauf si elles vendent dans des marchés publics ou certains lieux publics ;
- Le gain est conforme à la capacité de vente, plus elles vendent, plus elles peuvent gagner ;
- Elles ne sont pas soumises à une obligation de leur boulangerie, elles peuvent à tout moment rompre sans conséquence leurs contrats de vente.
Quels en sont les contraintes ?
- Elles doivent dans la plupart des cas se lever très tôt ;
- Elles risquent parfois leur vies en sortant à des heures moins éclairées par le soleil (4h surtout).
En bref, aucune condition n'est requise, pas de diplôme pour être acceptée, pas de préférence de langue parlée, pas des lettres exigées, mais plutôt un gain sûr est garanti. Le métier n'est par contre pas valorisé, mais à une échelle élevée, il fait honneur et permet de gagner gros.
Les vendeuses de pain, ces femmes battantes qui ont trouvé un moyen de survivre et de contourner le chômage en faisant face aux problèmes de la vie dans un contexte économique très compliqué du pays.
Il n'y a pas de sots métiers, il n' y a que des sottes gens dit-on et tout travail procure de l'abondance du coeur étant un moyen de vie. Elles sont nombreuses ces femmes, jeunes et âgées qui chaque matin entre 4 heures et 6 heures se lèvent pour faire la commande de pains pour les revendre au cours de la journée. Un travail pas du tout facile mais qui, grâce à une rémunération allant de 4 à 20$ de l'ensemble de leurs commandes journalières leur permettent de gagner quelque chose pour répondre aux besoins quotidiens.
Certaines d'entre elles ont fait des grandes choses, et ont su capitaliser leurs intérêts pour s'acheter des parcelles, véhicules, voyager ou encore mouvoir vers d'autres types de business plus lucratifs.
Quels en sont les avantages ?
- Elles ne souffrent d'aucune taxation ou impôt de la part de l'État sur leurs revenus, sauf si elles vendent dans des marchés publics ou certains lieux publics ;
- Le gain est conforme à la capacité de vente, plus elles vendent, plus elles peuvent gagner ;
- Elles ne sont pas soumises à une obligation de leur boulangerie, elles peuvent à tout moment rompre sans conséquence leurs contrats de vente.
Quels en sont les contraintes ?
- Elles doivent dans la plupart des cas se lever très tôt ;
- Elles risquent parfois leur vies en sortant à des heures moins éclairées par le soleil (4h surtout).
En bref, aucune condition n'est requise, pas de diplôme pour être acceptée, pas de préférence de langue parlée, pas des lettres exigées, mais plutôt un gain sûr est garanti. Le métier n'est par contre pas valorisé, mais à une échelle élevée, il fait honneur et permet de gagner gros.
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