Coalition Lamuka, l'échec précède la Division
Largement favori lors du scrutin de 30 déc 2019, Martin Fayulu, leader désigné de la coalition Lamuka, tend vers un avenir ombrageux ou un séisme gigantesque de division peut se faire attendre. Pour rappel, Martin Fayulu, a conduit en l'absence de principaux leaders d'opposition au Régime de Kabila, une coalition, une union des forces de tous les candidats non-partant pour la course à la présidentielle.
D'ores et déjà, la coalition avait un agenda caché, censé contourner les déclassements des candidats de l'opposition, la mission était ainsi de se réunir autour d'une seule personne et lui conférer tous les pouvoirs, en même temps s'assurer qu'il gagne pour que deux ans plus tard une autre élection présidentielle soit organisée.
Malheureusement, comme pour les autres leaders, la Ceni publie des résultats qui classe Martin Fayulu deuxième de cette course pour la présidentielle. Face à un environnement difficile à percer, il ne parvient pas à obtenir le recomptage des voies, il échoue et voit sa requête à la cour constitutionnelle être déclarée irrecevable.
À présent les deux ans courrent, il est face à un fait accompli, légalement il ne peut plus rien faire, son challenger l'emporte, accueilli à l'Union Africaine, tout le monde tourne le dos, à la page des élections en RD Congo.
Depuis, aucune réaction des poids lourds de Lamuka, ni celle de JP Bemba, ni celle de Moïse Katumbi... Vont-ils encore se désister en faveur de Fayulu ? L'avenir s'annonce ainsi incertain pour Lamuka, devant une opportunité pour chacun des poids lourds, qui pourront rentrer au pays et concourir à la magistrature suprême dans les prochains cinq ans, les chances de survie politique de Martin Fayulu se réduisent terriblement.
Largement favori lors du scrutin de 30 déc 2019, Martin Fayulu, leader désigné de la coalition Lamuka, tend vers un avenir ombrageux ou un séisme gigantesque de division peut se faire attendre. Pour rappel, Martin Fayulu, a conduit en l'absence de principaux leaders d'opposition au Régime de Kabila, une coalition, une union des forces de tous les candidats non-partant pour la course à la présidentielle.
D'ores et déjà, la coalition avait un agenda caché, censé contourner les déclassements des candidats de l'opposition, la mission était ainsi de se réunir autour d'une seule personne et lui conférer tous les pouvoirs, en même temps s'assurer qu'il gagne pour que deux ans plus tard une autre élection présidentielle soit organisée.
Malheureusement, comme pour les autres leaders, la Ceni publie des résultats qui classe Martin Fayulu deuxième de cette course pour la présidentielle. Face à un environnement difficile à percer, il ne parvient pas à obtenir le recomptage des voies, il échoue et voit sa requête à la cour constitutionnelle être déclarée irrecevable.
À présent les deux ans courrent, il est face à un fait accompli, légalement il ne peut plus rien faire, son challenger l'emporte, accueilli à l'Union Africaine, tout le monde tourne le dos, à la page des élections en RD Congo.
Depuis, aucune réaction des poids lourds de Lamuka, ni celle de JP Bemba, ni celle de Moïse Katumbi... Vont-ils encore se désister en faveur de Fayulu ? L'avenir s'annonce ainsi incertain pour Lamuka, devant une opportunité pour chacun des poids lourds, qui pourront rentrer au pays et concourir à la magistrature suprême dans les prochains cinq ans, les chances de survie politique de Martin Fayulu se réduisent terriblement.
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