Washington sanctionne, la question de la Fraude Électorale revient sur table
Une frange importante de l'opinion publique congolaise dénoncait depuis le jour du déroulement du scrutin les conditions dans lesquelles se sont déroulés les élections. D'abord son report, dû à une incendie banale, puis sa publication intervenue tardivement dans des conditions telles que le résultat qui en ressort ne peut être crédible. Félix Tshisekedi a été proclamé vainqueur du scrutin, alors même que sa base fêtait avant même la publication tardivement intervenue. Et sans aucune precision sur le score province après province réalisé par chaque candidat, la Ceni a produit un résultat difficile à vérifier.
Ainsi le candidat malheureux, Martin Fayulu, qui depuis cette publication n'a jamais cessé de réclamer sa victoire, volée et attribuée selon lui à son principal challenger, Mr Félix Antoine Tshisekedi a décidé de faire recours à la Cour Constitutionnelle. La Cour a rejeté la requête de recomptage des voies et l'a jugé irrecevable, n'ayant pas respecté les conditions de forme, la saisine de la cour.
La Cour a dit le droit, si dans la forme sa décision paraît fondée, le fonds de la requête était fondé. L'opinion congolaise a moitié satisfaite, du fait de la proclamation d'un candidat autre que le dauphin du président Kabila, était pour autant à moitié déçue, par le résultat. Et Fayulu, déçu par le verdict de la Cour, a décidé de continuer à réclamer sa victoire dans les Institutions Internationales comme l'Union Africaine et tient toujours des meetings à l'intérieur du pays.
Avec les Sanctions Américaines sur Le Président de la Ceni, son vice-président, le Président de la Cour Constitutionnelle, l'ex-président de l'Assemblée Nationale, Washington dévoile sa position et reconnaît le fraude électorale. En dépêchant son envoyé spécial, il ouvre de nouveau le débat, un soulagement pour Martin Fayulu, qui désormais espère avoir été entendu. Mais pour quel issue? Telle est la trame d'une série de questions auxquelles nous serons fixés dans les jours à venir.
Une frange importante de l'opinion publique congolaise dénoncait depuis le jour du déroulement du scrutin les conditions dans lesquelles se sont déroulés les élections. D'abord son report, dû à une incendie banale, puis sa publication intervenue tardivement dans des conditions telles que le résultat qui en ressort ne peut être crédible. Félix Tshisekedi a été proclamé vainqueur du scrutin, alors même que sa base fêtait avant même la publication tardivement intervenue. Et sans aucune precision sur le score province après province réalisé par chaque candidat, la Ceni a produit un résultat difficile à vérifier.
Ainsi le candidat malheureux, Martin Fayulu, qui depuis cette publication n'a jamais cessé de réclamer sa victoire, volée et attribuée selon lui à son principal challenger, Mr Félix Antoine Tshisekedi a décidé de faire recours à la Cour Constitutionnelle. La Cour a rejeté la requête de recomptage des voies et l'a jugé irrecevable, n'ayant pas respecté les conditions de forme, la saisine de la cour.
La Cour a dit le droit, si dans la forme sa décision paraît fondée, le fonds de la requête était fondé. L'opinion congolaise a moitié satisfaite, du fait de la proclamation d'un candidat autre que le dauphin du président Kabila, était pour autant à moitié déçue, par le résultat. Et Fayulu, déçu par le verdict de la Cour, a décidé de continuer à réclamer sa victoire dans les Institutions Internationales comme l'Union Africaine et tient toujours des meetings à l'intérieur du pays.
Avec les Sanctions Américaines sur Le Président de la Ceni, son vice-président, le Président de la Cour Constitutionnelle, l'ex-président de l'Assemblée Nationale, Washington dévoile sa position et reconnaît le fraude électorale. En dépêchant son envoyé spécial, il ouvre de nouveau le débat, un soulagement pour Martin Fayulu, qui désormais espère avoir été entendu. Mais pour quel issue? Telle est la trame d'une série de questions auxquelles nous serons fixés dans les jours à venir.
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