Le Kuluna, ce néologisme qui s'identifie à la jeunesse congolaise égarée dans la violence et utilisant des armes blanches notamment les machettes.
Ce phénomène qui traumatise la société congolaise en général, les kinois en particulier et plus précisément ceux qui habitent les coins reculés du centre-ville. La présence de ces kulunas n'est presque pas remarquée dans les coins huppés de la capitale comme Mont-Fleuri, MaCampagne, Gombe. Par contre, à Mombele, Kisenso, paka-djuma, Kingasani, Masina et même les milieux proches des camps militaires sont infestés de ce phénomène.
A suivre le parcours de l'histoire, il se peut que l'origine de ce phénomène soit attribuée au mot d'ordre donné par Jean Pierre Bemba, qui encouragea les jeunes à se procurer les armes blanches, les machettes pour faire face aux forces militaires de Joseph Kabila, à la veille du scrutin de 2006.
Pour mieux la cerner, il importe de définir en quoi il consiste. Ce phénomène désigne une extorsion par les criminels d'âge jeune munis d'armes blanches à l'encontre d'un citoyen ou d'un groupe de personnes.
Par une analyse pointue nous permet de comprendre que ces jeunes- criminels assouvissent leur misère et leur manque d'avenir. Cet acte de délinquance accentué leur poussent à braver la nuit et à marcher contre le gré de l'autorité publique, et sa force appelée la police.
Ceci met gravement en danger l'avenir d'un pays qui est commis à se lever par la force de sa population majoritaire jeune. La sécurité des personnes et de leurs biens sont mis en faiblesse à cause de ce phénomène, cependant son éradication nécessite selon plusieurs chevronnés intellectuels: une prise en considération de la crise sociale, du chômage qui ronge la jeunesse et de la faiblesse de la police. Il faut en clair donner un accès gratuit à des formations professionalisantes aux plus démunis et insister sur la création d'emplois pour éradiquer le chômage en quantité élevée . Au stade où la gangrène est arrivée, il faudrait une réponse coercitive qui mettra en place par exemple une procédure spécifique judiciaire et l'établissement des tribunaux de police dans différents quartiers populaires.
Ce phénomène qui traumatise la société congolaise en général, les kinois en particulier et plus précisément ceux qui habitent les coins reculés du centre-ville. La présence de ces kulunas n'est presque pas remarquée dans les coins huppés de la capitale comme Mont-Fleuri, MaCampagne, Gombe. Par contre, à Mombele, Kisenso, paka-djuma, Kingasani, Masina et même les milieux proches des camps militaires sont infestés de ce phénomène.
A suivre le parcours de l'histoire, il se peut que l'origine de ce phénomène soit attribuée au mot d'ordre donné par Jean Pierre Bemba, qui encouragea les jeunes à se procurer les armes blanches, les machettes pour faire face aux forces militaires de Joseph Kabila, à la veille du scrutin de 2006.
Pour mieux la cerner, il importe de définir en quoi il consiste. Ce phénomène désigne une extorsion par les criminels d'âge jeune munis d'armes blanches à l'encontre d'un citoyen ou d'un groupe de personnes.
Par une analyse pointue nous permet de comprendre que ces jeunes- criminels assouvissent leur misère et leur manque d'avenir. Cet acte de délinquance accentué leur poussent à braver la nuit et à marcher contre le gré de l'autorité publique, et sa force appelée la police.
Ceci met gravement en danger l'avenir d'un pays qui est commis à se lever par la force de sa population majoritaire jeune. La sécurité des personnes et de leurs biens sont mis en faiblesse à cause de ce phénomène, cependant son éradication nécessite selon plusieurs chevronnés intellectuels: une prise en considération de la crise sociale, du chômage qui ronge la jeunesse et de la faiblesse de la police. Il faut en clair donner un accès gratuit à des formations professionalisantes aux plus démunis et insister sur la création d'emplois pour éradiquer le chômage en quantité élevée . Au stade où la gangrène est arrivée, il faudrait une réponse coercitive qui mettra en place par exemple une procédure spécifique judiciaire et l'établissement des tribunaux de police dans différents quartiers populaires.
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