Etienne Tshisekedi, figure emblématique de l'opposition politique congolaise, fervent défenseur de la Démocratie et acteur de la promotion du social du peuple congolais est mort il y a 2 ans déjà en Belgique.
Son histoire part de la lettre de 13 parlementaires qui ont bravé la dictature de Mobutu en lui adressant une lettre ouverte et peu à peu, il s'était imposé comme leader de l'opposition à la dictature du régime militaire du Maréchal Mobutu. Il n'obtient pas gain de cause jusqu'au départ de Mobutu, alors renversé par Laurent Désiré Kabila, qui dès son accession au pouvoir le consigne à l'intérieur du pays.
Il joue encore son rôle contre le Fils du Président Kabila en l'affrontant aux élections présidentielles de 2011. Il gagne les élections, selon une frange importante de l'avis du peuple, mais perd selon le résultat annoncé par le corps électoral. Il prête même serment, comme pour imiter et provoquer une situation à l'ivoirienne, mais la communauté internationale reste inactive. Kabila s'impose comme le président légal et lui, le président légitime.
Son affrontement avec Joseph Kabila s'envenime, à la fin du 2eme mandat de Kabila, et à la suite d'une tergiversation très longue, de Dialogue en resolutions sans forme, il paraît de plus en plus dangereux pour le pouvoir de Kabila. Sa mort est survenu dans des circonstances telles qu'il soit possible d'affirmer la thèse d'un complot et d'un empoisonnement.
Le héros du peuple meurt et Kabila craint des débordements populaires et l'initiation d'un soulèvement populaire ou d'une récupération militaire de son deuil. Il interdit alors indirectement le retour de sa dépouille, jusqu'à ce jour.
Aujourd'hui, son fils a collaboré avec le bourreau de son père et peine à affermir son autorité. Les bastions militaires de Joseph font craindre un renversement de Félix et les coulisses de son accession au pouvoir le limite d'agir librement. Il parvient toutes fois difficilement à exécuter quelques promesses de campagne comme la libération des prisonniers politiques.
Avant d'accompagner Félix aux États-Unis, Augustin Kabuya, cadre de l'UDPS annonce le retour de sa dépouille avec insistance le mois prochain, et la poursuite des travaux de son sépulcre à Nsele. Il est possible d'accorder du crédit à cette annonce, mais rien n'est vraiment confirmé aussi longtemps que Kabila détient encore quelques marges de décisions.
Son histoire part de la lettre de 13 parlementaires qui ont bravé la dictature de Mobutu en lui adressant une lettre ouverte et peu à peu, il s'était imposé comme leader de l'opposition à la dictature du régime militaire du Maréchal Mobutu. Il n'obtient pas gain de cause jusqu'au départ de Mobutu, alors renversé par Laurent Désiré Kabila, qui dès son accession au pouvoir le consigne à l'intérieur du pays.
Il joue encore son rôle contre le Fils du Président Kabila en l'affrontant aux élections présidentielles de 2011. Il gagne les élections, selon une frange importante de l'avis du peuple, mais perd selon le résultat annoncé par le corps électoral. Il prête même serment, comme pour imiter et provoquer une situation à l'ivoirienne, mais la communauté internationale reste inactive. Kabila s'impose comme le président légal et lui, le président légitime.
Son affrontement avec Joseph Kabila s'envenime, à la fin du 2eme mandat de Kabila, et à la suite d'une tergiversation très longue, de Dialogue en resolutions sans forme, il paraît de plus en plus dangereux pour le pouvoir de Kabila. Sa mort est survenu dans des circonstances telles qu'il soit possible d'affirmer la thèse d'un complot et d'un empoisonnement.
Le héros du peuple meurt et Kabila craint des débordements populaires et l'initiation d'un soulèvement populaire ou d'une récupération militaire de son deuil. Il interdit alors indirectement le retour de sa dépouille, jusqu'à ce jour.
Aujourd'hui, son fils a collaboré avec le bourreau de son père et peine à affermir son autorité. Les bastions militaires de Joseph font craindre un renversement de Félix et les coulisses de son accession au pouvoir le limite d'agir librement. Il parvient toutes fois difficilement à exécuter quelques promesses de campagne comme la libération des prisonniers politiques.
Avant d'accompagner Félix aux États-Unis, Augustin Kabuya, cadre de l'UDPS annonce le retour de sa dépouille avec insistance le mois prochain, et la poursuite des travaux de son sépulcre à Nsele. Il est possible d'accorder du crédit à cette annonce, mais rien n'est vraiment confirmé aussi longtemps que Kabila détient encore quelques marges de décisions.
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