Kinshasa, capitale de la République Démocratique du Congo est classée parmi les villes les plus sales du monde. Autrefois appelée Kinshasa la belle, elle s'est vu s'ajouter le préfixe "pou" et voilà qu'aujourd'hui son qualificatif devient "poubelle".
Nous constatons que ses routes se délabrent assez rapidement après leur construction, la ville connait des inondations lors des pluies qui ne s'abbatent que pendant quelques heures, les moustiques ne cessent de se multiplier. Ce qui dégrade sa plus belle robe datant. Ce constat devient de plus en plus généralisé car même dans les quelques coins huppés de la vie, nous remarquons que la propreté devient une exception.
Le long des boulevards grandissent des herbes sans forme et il est difficile de retrouver des espaces verts bien organisés, même celui du petit espace de la façade avant le palais du peuple qui abrite le Parlement peine à être maintenu dans les normes de la verdure des pelouses, ceci sans mentionner les jeux d'eaux qui ne fonctionnent plus et gardent des eaux usées et mal propres.
À quoi sert-il de construire si l'entretien n'est pas prévu ? l'atmosphère public, les espaces touristiques, les lieux historiques et abritant des institutions échappent souvent à une politique d'entretien adéquate, ce qui est désolant.
En guise de suggestion, il importe de repartir la gestion environnementale à chaque commune, qui doit être dotée des machines adéquates à l'entretien total allant de l'entretien des espaces verts au curage des caniveaux passant par le balayage des routes et l'entretien des câbles électriques, des tuyaux d'acheminement d'eaux ainsi que les couleurs et l'esthétique des maisons et édifices.
Que chacun bourgoumestre s'organise pour implanter un vrai système de gestion des infrastructures pour envisager une ville redorée et vêtue de sa plus belle robe afin d'attirer des visiteurs et accorder à la population un bien-être.
Le défi est lancé à chaque gouverneur !
Nous constatons que ses routes se délabrent assez rapidement après leur construction, la ville connait des inondations lors des pluies qui ne s'abbatent que pendant quelques heures, les moustiques ne cessent de se multiplier. Ce qui dégrade sa plus belle robe datant. Ce constat devient de plus en plus généralisé car même dans les quelques coins huppés de la vie, nous remarquons que la propreté devient une exception.
Le long des boulevards grandissent des herbes sans forme et il est difficile de retrouver des espaces verts bien organisés, même celui du petit espace de la façade avant le palais du peuple qui abrite le Parlement peine à être maintenu dans les normes de la verdure des pelouses, ceci sans mentionner les jeux d'eaux qui ne fonctionnent plus et gardent des eaux usées et mal propres.
À quoi sert-il de construire si l'entretien n'est pas prévu ? l'atmosphère public, les espaces touristiques, les lieux historiques et abritant des institutions échappent souvent à une politique d'entretien adéquate, ce qui est désolant.
En guise de suggestion, il importe de repartir la gestion environnementale à chaque commune, qui doit être dotée des machines adéquates à l'entretien total allant de l'entretien des espaces verts au curage des caniveaux passant par le balayage des routes et l'entretien des câbles électriques, des tuyaux d'acheminement d'eaux ainsi que les couleurs et l'esthétique des maisons et édifices.
Que chacun bourgoumestre s'organise pour implanter un vrai système de gestion des infrastructures pour envisager une ville redorée et vêtue de sa plus belle robe afin d'attirer des visiteurs et accorder à la population un bien-être.
Le défi est lancé à chaque gouverneur !
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