Poste du Premier Ministre, Kabila imposera-t-il son choix?
À l'aube d'un accord entre le FCC et le CACH, un équilibre décisionnel a été formellement établi entre ces deux regroupements politiques actuellement au pouvoir. Felix Tshisekedi, président et chef d'État fait une sorte de cogestion avec Joseph Kabila, ex-president et autorité morale du FCC. Cette situation s'impose non seulement à cause de l'accord qui implique leur coalition, mais aussi et surtout du fait que le FCC est majoritaire dans les assemblées parlementaires à tous les niveaux.
La formation du Gouvernement national devra dès lors refléter l'image de cette prépondérance du FCC, conformément aux prescrits constitutionnels et de droit, le poste du premier devrait leur revenir. Cependant, la constitution n'oblige nullement le président de la République à accepter un candidat unique désigné par le regroupement politique majoritaire, bien que la désignation du candidat se doit d'être un membre issu de la majorité. En analysant, nous disons que cette jurisprudence porterait la paternité de Joseph Kabila.
Faisant face à une pression populaire, Félix Tshisekedi tend à s'émanciper de son accord et veut respecter la volonté du peuple qui souhaite voir le président rompre avec l'ancien système. Le mot deboulonnage fait d'ailleurs le buzz pour démontrer combien le peuple désire ne plus continuer avec le système de Gouvernance utilisé par la Kabilie.
Pour répondre de manière stricte, nous pouvons affirmer que Félix Tshisekedi dispose des marges lui permettant de tourner en sa faveur le candidat qu'il nommera n'étant nullement attacher d'accepter n'importe quel candidat présenté par le FCC. Le nom d'Albert Yuma écarté prouve que le nouveau Premier Ministre devrait refléter la note de l'équilibre dans cette coalition qui tait ses accords au peuple.
À l'aube d'un accord entre le FCC et le CACH, un équilibre décisionnel a été formellement établi entre ces deux regroupements politiques actuellement au pouvoir. Felix Tshisekedi, président et chef d'État fait une sorte de cogestion avec Joseph Kabila, ex-president et autorité morale du FCC. Cette situation s'impose non seulement à cause de l'accord qui implique leur coalition, mais aussi et surtout du fait que le FCC est majoritaire dans les assemblées parlementaires à tous les niveaux.
La formation du Gouvernement national devra dès lors refléter l'image de cette prépondérance du FCC, conformément aux prescrits constitutionnels et de droit, le poste du premier devrait leur revenir. Cependant, la constitution n'oblige nullement le président de la République à accepter un candidat unique désigné par le regroupement politique majoritaire, bien que la désignation du candidat se doit d'être un membre issu de la majorité. En analysant, nous disons que cette jurisprudence porterait la paternité de Joseph Kabila.
Faisant face à une pression populaire, Félix Tshisekedi tend à s'émanciper de son accord et veut respecter la volonté du peuple qui souhaite voir le président rompre avec l'ancien système. Le mot deboulonnage fait d'ailleurs le buzz pour démontrer combien le peuple désire ne plus continuer avec le système de Gouvernance utilisé par la Kabilie.
Pour répondre de manière stricte, nous pouvons affirmer que Félix Tshisekedi dispose des marges lui permettant de tourner en sa faveur le candidat qu'il nommera n'étant nullement attacher d'accepter n'importe quel candidat présenté par le FCC. Le nom d'Albert Yuma écarté prouve que le nouveau Premier Ministre devrait refléter la note de l'équilibre dans cette coalition qui tait ses accords au peuple.
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