À la veille d'une rencontre décisive pour l'avenir de la Coalition Lamuka, une réunion prévue à Bruxelles devant réunir les 5 leaders de la Coalition Lamuka qui avaient soutenus la Candidature de Martin Fayulu dans les élections du 30 décembre 2018, les écarts de positionnement se manifestent assez visiblement.
Pour rappel, les 5 leaders qui ont soutenus Martin Fayulu étaient tous des écartés de la course à la présidentielle, leur soutien était donc motivé non seulement par le souci de battre le candidat de Kabila, mais beaucoup plus par leur handicap, leur inéligibilité ou leur écartement au scrutin présidentiel.
À 48 heures de la réunion des 5 leaders, Adolphe Muzito, fait une déclaration quelque peu incinératrice à l'encontre de Moïse Katumbi, l'un des plus lourds pour ne pas dire celui qui pèse le plus politiquement, du fait de sa fortune. Ceci est une manière à notre compréhension de mettre en garde Moïse w qui fait montre d'une intention à vouloir se retirer de cette coalition, qui ne lui est plus indispensable, du fait qu'il peut tout seul en ce moment se présenter aux prochaines élections, et qu'il ne soit donc nullement de son intérêt à être l'ombre d'une autre personne, en l'occurrence l'ombre de Martin Fayulu, Candidat commun que l'opposition avait choisi.
Alors que deviendra la Coalition Lamuka dans l'hypothèse d'un retrait de Moïse Katumbi
Une chose est certaine, le départ de Moïse Katumbi de la Coalition Lamuka est prévisible, cependant à premier égard, une frustration serait inéluctable. Il est fort probable que le Chairman du MLC, Jean Pierre Bemba, en situation similaire à Moïse Katumbi, écarté pour autant pour des raisons fantaisistes emboîte lui aussi le pas à Moïse, tôt ou tard. Adolphe Muzito pourra tenir un peu plus longtemps, mais finira par lâcher, en l'absence de Moïse et Bemba, puisque la Coalition aura perdu des poids lourds et ne fera plus une forte attraction populaire. Cependant, Martin Fayulu, qui s'est déjà forgé une identité forte de Leadership pourra demeurer un acteur politique majeur, mais il lui sera très difficile d'accéder à la magistrature suprême devant des rivaux plus importants, à moins que certains événements imprévus viennent redéfinir les cartes politiques.
Pour rappel, les 5 leaders qui ont soutenus Martin Fayulu étaient tous des écartés de la course à la présidentielle, leur soutien était donc motivé non seulement par le souci de battre le candidat de Kabila, mais beaucoup plus par leur handicap, leur inéligibilité ou leur écartement au scrutin présidentiel.
À 48 heures de la réunion des 5 leaders, Adolphe Muzito, fait une déclaration quelque peu incinératrice à l'encontre de Moïse Katumbi, l'un des plus lourds pour ne pas dire celui qui pèse le plus politiquement, du fait de sa fortune. Ceci est une manière à notre compréhension de mettre en garde Moïse w qui fait montre d'une intention à vouloir se retirer de cette coalition, qui ne lui est plus indispensable, du fait qu'il peut tout seul en ce moment se présenter aux prochaines élections, et qu'il ne soit donc nullement de son intérêt à être l'ombre d'une autre personne, en l'occurrence l'ombre de Martin Fayulu, Candidat commun que l'opposition avait choisi.
Alors que deviendra la Coalition Lamuka dans l'hypothèse d'un retrait de Moïse Katumbi
Une chose est certaine, le départ de Moïse Katumbi de la Coalition Lamuka est prévisible, cependant à premier égard, une frustration serait inéluctable. Il est fort probable que le Chairman du MLC, Jean Pierre Bemba, en situation similaire à Moïse Katumbi, écarté pour autant pour des raisons fantaisistes emboîte lui aussi le pas à Moïse, tôt ou tard. Adolphe Muzito pourra tenir un peu plus longtemps, mais finira par lâcher, en l'absence de Moïse et Bemba, puisque la Coalition aura perdu des poids lourds et ne fera plus une forte attraction populaire. Cependant, Martin Fayulu, qui s'est déjà forgé une identité forte de Leadership pourra demeurer un acteur politique majeur, mais il lui sera très difficile d'accéder à la magistrature suprême devant des rivaux plus importants, à moins que certains événements imprévus viennent redéfinir les cartes politiques.
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