Retrouvailles aux États-Unis : Vers une coalition Fatshi-Mafa?
D'aucuns soupçonnent l'administration Trump de vouloir faire travailler Félix Tshisekedi, président proclamé vainqueur aux scrutins du 30 décembre 2018 et Martin Fayulu, le challenger qui réclame la vérité des urnes. Tous deux ouverts aux États-Unis d'Amérique de par sa position claire face au pouvoir de Kabila, c'est l'un des grandes puissances auprès de qui ils ont longuement demandé appui et secours pour déboulonner l'ex-président Joseph Kabila, le tout puissant des anciennes années en RDC.
En clair, la coïncidence de voir les deux "présidents" l'un proclamé et l'autre reclameur de sa position de gagnant, se retrouvaient dans une période unique aux États-Unis attire l'attention des analystes politiques congolais. Il faudra rappeler que les États-Unis d'Amérique, fermement opposés au régime de Kabila, qu'il n'hésite pas à sanctionner à la moindre occasion, a tolérée le résultat proclamé par la cour constitutionnelle, tout en étant conscient de l'accord passé entre Félix Tshisekedi et Joseph Kabila. À lire entre les lignes, nous remarquons que les USA affichent clairement l'intention de bien vouloir affranchir Félix Tshisekedi de son prédécesseur.
Officiellement, rien n'a été annoncé, sur une rencontre entre les 2 leaders qui séjournent aux États-Unis, cependant, à en croire les précédentes déclarations du Président Français Emmanuel Macron, qui a clairement appelé Félix Tshisekedi à travailler avec Martin Fayulu et Moïse Katumbi, il s'avère qu'il se prépare quelque chose.
Il importe aussi de noter que Moïse Katumbi s'est prononcé contre toute participation à un gouvernement de coalition avec l'actuel président Félix Tshisekedi, cependant Martin Fayulu n'a pas encore dit son dernier mot sachant que la politique reste dynamique. Il faut ainsi observer minutieusement le déroulement du séjour de ces deux leaders, voire les décisions qui seront prises à leur retour.
D'aucuns soupçonnent l'administration Trump de vouloir faire travailler Félix Tshisekedi, président proclamé vainqueur aux scrutins du 30 décembre 2018 et Martin Fayulu, le challenger qui réclame la vérité des urnes. Tous deux ouverts aux États-Unis d'Amérique de par sa position claire face au pouvoir de Kabila, c'est l'un des grandes puissances auprès de qui ils ont longuement demandé appui et secours pour déboulonner l'ex-président Joseph Kabila, le tout puissant des anciennes années en RDC.
En clair, la coïncidence de voir les deux "présidents" l'un proclamé et l'autre reclameur de sa position de gagnant, se retrouvaient dans une période unique aux États-Unis attire l'attention des analystes politiques congolais. Il faudra rappeler que les États-Unis d'Amérique, fermement opposés au régime de Kabila, qu'il n'hésite pas à sanctionner à la moindre occasion, a tolérée le résultat proclamé par la cour constitutionnelle, tout en étant conscient de l'accord passé entre Félix Tshisekedi et Joseph Kabila. À lire entre les lignes, nous remarquons que les USA affichent clairement l'intention de bien vouloir affranchir Félix Tshisekedi de son prédécesseur.
Officiellement, rien n'a été annoncé, sur une rencontre entre les 2 leaders qui séjournent aux États-Unis, cependant, à en croire les précédentes déclarations du Président Français Emmanuel Macron, qui a clairement appelé Félix Tshisekedi à travailler avec Martin Fayulu et Moïse Katumbi, il s'avère qu'il se prépare quelque chose.
Il importe aussi de noter que Moïse Katumbi s'est prononcé contre toute participation à un gouvernement de coalition avec l'actuel président Félix Tshisekedi, cependant Martin Fayulu n'a pas encore dit son dernier mot sachant que la politique reste dynamique. Il faut ainsi observer minutieusement le déroulement du séjour de ces deux leaders, voire les décisions qui seront prises à leur retour.
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