Une arrestation de Kabila, est-ce envisageable ?
Au lendemain d'une victoire contestée aux élections du 30 décembre 2018, auxquelles Martin Fayulu principal challenger ne cesse de clamer la vérité des urnes, Felix Tshisekedi, président de la République proclamé par la Ceni et Confirmé par la Cour Constitutionnelle aurait signé un accord avec son prédécesseur, pour parvenir au pouvoir. Son regroupement politique le CACH est d'ailleurs en Coalition officiel avec le FCC de son prédécesseur.
Cependant, jour après jour, Félix Tshisekedi, sous la pression du peuple et de sa base tend à prendre ses distances jusqu'au point de demander aux États-Unis de l'aider à se débarrasser du système dictatorial de son prédécesseur Joseph Kabila.
Le divorce semble se pointer à l'horizon, et les signes de sa manifestation se multiplient au fil du temps. Les victoires répétées du FCC ont elles aussi ajouté de l'huile sur du feu et ont largement contribué à envinimer la situation et le rapport de relation entre le CACH et le FCC.
Des voix se lèvent pour dénoncer un accord devenu obsolète et inutile très tôt avec le FCC. D'autres voix vont plus loin et voient en Kabila l'incarnation d'un mal profond, la représentation d'une menace récurente pour le bon fonctionnement du mandat de Félix Tshisekedi. Des activistes engagés prennent des initiatives de pression. Certains plaident pour l'arrestation pure et simple du leader du FCC, Joseph Kabila avec des campagnes diverses, comme "Kangela Biso Kabila".
Cette option serait sans doute déjà été mise à la table de Félix Tshisekedi. Cependant, exécuter une telle idée ne serait pas sans conséquence, avec dégâts énormes et effusion de sang selon plusieurs analystes. Le Leader du FCC, militaire de carrière n'accepterai jamais une arrestation ou un emprisonnement de celui auprès de qui il a cédé le pouvoir.
Il est ainsi prévisible que si cette option est choisie par Félix Tshisekedi, trois scénarios seront possibles:
1. L'Exil du leader du FCC;
2. Le Renversement de Félix Tshisekedi ;
3. La mort du Leader du FCC, qui aura perdu la vie dans les affrontements pour son arrestation.
Au lendemain d'une victoire contestée aux élections du 30 décembre 2018, auxquelles Martin Fayulu principal challenger ne cesse de clamer la vérité des urnes, Felix Tshisekedi, président de la République proclamé par la Ceni et Confirmé par la Cour Constitutionnelle aurait signé un accord avec son prédécesseur, pour parvenir au pouvoir. Son regroupement politique le CACH est d'ailleurs en Coalition officiel avec le FCC de son prédécesseur.
Cependant, jour après jour, Félix Tshisekedi, sous la pression du peuple et de sa base tend à prendre ses distances jusqu'au point de demander aux États-Unis de l'aider à se débarrasser du système dictatorial de son prédécesseur Joseph Kabila.
Le divorce semble se pointer à l'horizon, et les signes de sa manifestation se multiplient au fil du temps. Les victoires répétées du FCC ont elles aussi ajouté de l'huile sur du feu et ont largement contribué à envinimer la situation et le rapport de relation entre le CACH et le FCC.
Des voix se lèvent pour dénoncer un accord devenu obsolète et inutile très tôt avec le FCC. D'autres voix vont plus loin et voient en Kabila l'incarnation d'un mal profond, la représentation d'une menace récurente pour le bon fonctionnement du mandat de Félix Tshisekedi. Des activistes engagés prennent des initiatives de pression. Certains plaident pour l'arrestation pure et simple du leader du FCC, Joseph Kabila avec des campagnes diverses, comme "Kangela Biso Kabila".
Cette option serait sans doute déjà été mise à la table de Félix Tshisekedi. Cependant, exécuter une telle idée ne serait pas sans conséquence, avec dégâts énormes et effusion de sang selon plusieurs analystes. Le Leader du FCC, militaire de carrière n'accepterai jamais une arrestation ou un emprisonnement de celui auprès de qui il a cédé le pouvoir.
Il est ainsi prévisible que si cette option est choisie par Félix Tshisekedi, trois scénarios seront possibles:
1. L'Exil du leader du FCC;
2. Le Renversement de Félix Tshisekedi ;
3. La mort du Leader du FCC, qui aura perdu la vie dans les affrontements pour son arrestation.
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